Nous
Un groupe de personnes qui….
veulent sauver autant que possible les traditions populaires, les souvenirs du territoire et l’enseignement des personnes âgées qui sont trop souvent reléguées au reste de la société et ignorées, non écoutées. Prédominé par une “culture du titre”, “du papier”, “de la hâte” ; une culture aveugle dans son Ego, fragile dans son propre ego, incapable de voir la richesse préservée dans ces gens, qui repartent avec ce bagage de connaissances si important pour l’équilibre de notre Etre, notre Santé….
veulent éveiller la valeur et l’importance de certaines traditions importantes…..
s’efforcer de sauvegarder l’environnement dans lequel ils vivent….
veulent faire du sport de la manière la plus naturelle possible …..
ils veulent se retrouver loin d’un ordinateur, peut-être autour d’un feu, jouant… dansant… mangeant…. chantant hors de l’air…..
ils veulent “faire”, stimuler, proposer de la culture…..
Vous voulez construire l’amitié…..
Un groupe de personnes qui………
Traduit avec www.DeepL.com/Translator
Fondateur de l’école I.S.A.
Instructeurs internationaux
Anne Brown de Colstoun
Christine Provost
Georgette Chabin
Georgia Leconte
Ginette Guédu
Nicole Blouet le Coz
Odile Thibault
Instructeurs nationaux
Peter Van Lierde
Concept
L’Aplomb est une rééducation naturelle des attitudes de la vie quotidienne par une étude approfondie de l’équilibre de l’être humain tel qu’il s’est constitué au cours de l’évolution.
Que signifie le mot “aplomb” ?
Quand l’employons nous dans le langage courant ?
On dit par exemple : “cette fenêtre est de guingois, elle n’est pas d’aplomb” ou encore : “cette table n’est pas d’aplomb, mets une cale sous un pied”.De quelqu’un qui “déraille” un peu, on dit qu’il n’est pas d’aplomb dans sa tête…Lorsque l’on est bien planté dans sa tête et sur ses deux pieds, que l’on est sûr de soi, le mot “aplomb” peut devenir péjorativemet le synonyme de : “avoir du culot”.En effet ne pas manquer d’aplomb c’est sentir sa base (la base du tronc) et ses arrières bien assurés.
Discourir de l’aplomb ne sert à rien, il faut aller observer des gens qui ne l’ont pas perdu : petit à petit rééduquer notre oeil, pour observer ceux qui offrent dans leur ensemble une allure et une noblesse d’homo-sapiens bien planté.
L’aplomb ne peut-être en aucun cas transmis par des mots – ni relever d’un enseignement universitaire classique. Il s’agit d’éveiller la sensation juste, une sensation de l’équilbre des poids et contre-poids de chaque os, muscle, obéissant à la gravité.Des cours et séminaires permettront de voir et sentir cet aplomb de l’être humain tout entier.
Ajoutons enfin que l’originalité et la force de l’Institut Supérieur d’Aplomb (I.S.A), est de former des chercheurs en ethnologie qui transmettent aux autres ce que le terrain leur fait peu à peu découvrir.
Historique
Comment s’est développé l’Aplomb ?
Noëlle PEREZ-CHRISTIAENS a commencé en 1959 à travailler le yoga avec B.K.S. Iyengar. En 1976, au cours d’une session à Paris, il lui ouvre les yeux sur le fait que les Occidentaux ont le poids en avant, que leur dos se voûtent, qu’ils sont raides.
Visitant une exposition sur l’Égypte puis le musée Guimet, il attire son regard sur des statues anciennes : les unes semblent tomber dans une chute perpétuelle tandis que les autres sont comme tirées vers le haut.
Noëlle se met au travail et comprend qu’il y a là une piste essentielle pour aider les Occidentaux à retrouver les bases de leur équilibre physique, psychique et même spirituel, en s’ouvrant sur la beauté et la noblesse des personnes qui n’ont pas perdu l’aplomb.
Elle fonde, en 1978, l’Institut Supérieur d’Aplomb (ISA) et part avec son équipe sur différents ” terrains ” à la recherche de personnes qui sont encore d’aplomb pour les prendre comme exemple. Elle remarque que chez un enfant qui commence à se mettre debout, tout s’organise instinctivement vers l’équilibre.
L’observation attentive révèle des trésors sur une autre façon d’être et de vivre. Cela conduit à s’observer soi-même et à travailler pour retrouver les fondements de l’aplomb.
L’aplomb est l’art d’être debout, d’être assis, de se mouvoir avec aisance, sans tensions. Il est la connaissance qui devrait être à la base du yoga, du taï-chi, de tous les sports, de la danse, etc. Sans cela, ces techniques risquent d’être sources de souffrances plutôt que de bien-être.
Les chercheurs de l’ISA apprennent aux élèves à sentir, à percevoir l’attitude juste, en développant l’observation et l’attention.
Certains élèves pourront devenir eux-mêmes des chercheurs de terrain et transmettre, à leur tour, le fil retrouvé de l’aplomb.
Des cours et des séminaires sont donnés à Paris, en Province et à l’étranger. Les élèves y découvrent l’aplomb du bassin, des pieds, de la colonne vertébrale et retrouvent une respiration naturelle, l’équilibre du système nerveux, une plus grande aisance, un bien-être et un approfondissement vers une spiritualité plus profonde.